Le Togo est béni avec la mer. Cette ressource naturelle dont il dispose est beaucoup enviée par plusieurs pays dans le monde qui n’en ont pas justement. Pour la préserver et favoriser les activités maritimes, le gouvernement déploie toute une série de mesures efficaces. La mise sur pied du Haut conseil pour la mer (HCM) participe à cela.
Le Haut conseil pour la mer (HCM) est décrit comme l’organe suprême de l’Organisme national chargé de l’action de l’État en mer (ONAEM).
Selon les autorités, c’est « un cadre où les décisions politiques maritimes se prennent afin de les traiter en stratégie par les services du Conseiller pour la mer, puis l’opérationnalisation de ses décisions par la préfecture maritime, troisième organe de l’ONAEM ».
Le HCM, institution rattachée à la présidence de la République, se réunit donc une fois par an, sur convocation du président de la République et chaque fois que nécessaire.
Le Haut conseil de la mer joue un rôle vraiment important, comme brossé en haut. Il élabore des politiques et des stratégies visant à assurer une exploitation durable des ressources marines, telles que les poissons, les crustacés, les algues marines.
Cela comprend la promotion des pratiques de pêche responsables. Aussi, le HCM est chargé de protéger l’écosystème marin et côtier du Togo contre la pollution, la dégradation de l’habitat et d’autres menaces environnementales contre l’érosion.
Il garantit la sécurité maritime dans les eaux territoriales togolaises. Le Haut conseil coordonne les opérations de surveillance et de patrouille, lutte contre la piraterie et d’autres activités illicites en mer. Il fournit une assistance en cas d’urgence maritime.
Grâce aux apports du HCM dans la lutte pour la préservation de la mer et de toutes les activités liées à son existence, le développement économique et social se renforce pour de nombreuses communautés à travers le soutien à des activités comme la pêche, la conservation et la transformation des poissons, l’arrivée des bateaux, le tourisme côtier, etc.
En tant qu’organe de coordination, le Haut conseil de la mer favorise la collaboration entre les acteurs impliqués dans la gestion des ressources marines et côtières, y compris les ministères, les agences gouvernementales, les organisations de la société civile et le secteur privé.