Togo: Début de l’année diplomatique 2023-2024

0
216
avgle my wife jello ass. pron pendeja petera de glew.

C’est par une conférence sur les transitions démocratiques en Afrique que le ton de l’année  diplomatique 2023-2024 a donné lundi au Togo. La cérémonie présidée par Prof Robert Dussey, ministre des affaires étrangères a enregistré notamment la présence des ambassadeurs et chefs de missions diplomatiques et consulaires, des représentants des Organisations internationales. Le conférencier, Me Joseph Kokou Koffigoh estime que la prise du pouvoir par la force ne saurait être érigée en une norme et a formulé des recommandations.

La rentrée diplomatique a été l’occasion pour Prof Robert Dussey de rappeler les principaux évènements qui seront à l’agenda diplomatique du Togo au cours de l’année 2023-2024, notamment la tenue les 21 et 22 octobre prochains de la première édition de « Lomé Peace and Security Forum » et l’organisation du 9è Congrès panafricain au second semestre de 2024.

« Le Togo ne peut pas abandonner les pays frères qui sont en crise, en guerre et en transition politique qui constituent des moments d’incertitudes majeures et les efforts de médiation et de facilitation à l’échelle de la région et du continent seront renforcés tout au long de l’année », a-t-il déclaré.

Elle a été marquée cette année par une conférence inaugurale axée sur le thème: « Les transitions démocratiques en Afrique entre rêves et réalités ». Un thème qui a été choisi et développé par Me Joseph Kokou Koffigoh, acteur de la transition politique en 1991 au Togo.

Le choix de ce thème d’actualité a été salué par Prof Robert Dussey.

« Ce thème nous interpelle sur le destin et le devenir des transitions politiques en Afrique. Quelles promesses non tenues des transitions démocratiques africaines, avions-nous peut-être sous-estimés les incertitudes propres à toute transition. Il  n’y a pas donc de commentaire à faire », a-t-il indiqué.

Selon Me Joseph Kokou Koffigoh, la mal gouvernance est souvent la principale raison évoquée pour justifier le renversement du pouvoir dans les pays concernés. Toutefois, il souligne que cela ne saurait être érigé en une norme surtout là où les institutions de la République fonctionnent à peu près convenablement.

Le conférencier indique que lorsque malgré tout le mal est fait, il faut trouver des mécanismes pour en sortir à travers une transition pour restaurer l’ordre constitutionnel.

« La transition doit s’appréhender ou s’apprécier comme une régence. Sa première caractéristique est d’être éphémère. La régence doit être éphémère. La transition doit être courte sinon elle s’apparente à une confiscation du pouvoir. La durée sera fonction de la situation de chaque pays. Un an c’est le minimum et 3 ans, le maximum », a-t-il indiqué.

L’ancien premier du Togo ajoute que la transition doit viser à restaurer l’ordre constitutionnel par des élections libres et transparentes.

« Pour y arriver, elle doit à travers des commissions techniques, créer, ajuster ou toiletter le cadre juridique et politique des élections. Il faut enlever et jeter tout ce qui est générateur de conflit », a-t-il fait savoir.

Dans le même ordre d’idée, Me Koffigoh propose de veiller à assurer les grands équilibres macroéconomiques et sociaux et garantir les droits de l’homme en allant même à la protection de ceux qui ont perdu le pouvoir s’il n’y existe pas à leur charge de graves violations des droits de l’homme.

« Car dès que commence la chasse aux sorcières, les victimes cherchent des appuis pour se défendre et empêcher toute avancée », a-t-il laissé entendre.

sexy cheating aunty shreya.sex videos
bigtit amateur sucks sex agents cock. www.freesexstories.pro