En 4 ans, le FNFI a octroyé 1 448 456 micro crédits pour 72,8 milliards de FCFA aux Togolais

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Quatre (4) ans après le lancement du Fonds National de la Finance Inclusive (FNFI), 861 811 personnes ont pu être touchées avec un montant de crédits de 44,3 milliards de F CFA débloqués par les Partenaires des services financiers (PSF). 586 645 renouvellements de crédits ont été effectués pour un montant total de 28,5 milliards de F CFA.

Au total, 1 448 456 micro crédits ont été octroyés pour un montant de crédits de 72,8 milliards de F CFA avec 62,1 milliards de F CFA de lignes de crédits mis à la disposition des PSF.

C’est les résultats mis à la disposition de la presse ce vendredi à Lomé par les responsables du Fonds National de la Finance Inclusive (FNFI).

Selon Yves Gnaba, Directeur général du FNFI, il s’agit d’échanger avec les professionnels des médias sur les résultats positifs  ainsi que les difficultés rencontrées au cours de ces quatre années de  parcours.

«  Il faut retenir qu’après 4 ans il y a plus de 800 000 bénéficiaires qui ont été touchés par les six (6) produits y compris le programme assurance qui a offert la garantie santé et incendie aux bénéficiaires. Il y a eu plus de 500 000 renouvellement de crédit ; ce qui nous donne près de 1 400 000 micro crédits pour un  montant de 72,8 milliards de F CFA », a laissé M. Gnaba.

Au cours de ces 4 ans de parcours, le FNFI a eu également des difficultés à savoir la mauvaise foi des bénéficiaires ou de la mauvaise perception des crédits FNFI, conséquences d’une désinformation et des crédits FNFI considérés comme des dons à ne pas rembourser.

« En matière de remboursement, le résultat reste mitigé tout au long du parcours. Les premières années ont offert des taux de remboursement plus encourageants. Dès lors que les produits complexes ont apparu et à cause des aléas climatiques, surtout pour le produit agricole, cela a joué un peu sur le remboursement. Mais ce qu’il faut retenir, c’est que le remboursement moyen dans l’ensemble reste acceptable. Et il y a lieu de faire ressortir les zones de très bonnes performances, notamment la région des savanes, la zone d’extrême pauvreté comme modèle. Là où on penserait que les bénéficiaires auront des difficultés à rembourser, c’est là où les remboursements ont été plus encourageants », a-t-il précisé.

« On aurait souhaité toucher beaucoup plus des bénéficiaires comme cela a été annoncé dans les prévisions, mais très tôt après la deuxième année, il fallait mettre l’accent sur la qualité des services qui sont offerts parce que pour nous ce n’est pas d’accorder des crédits pour accorder du crédit mais s’assurer qu’à la fin de la première phase du schéma directeur, que la réalisation d’impact puisse relever que les bénéficiaires qui ont eu les crédits FNFI ont pu avoir des impacts sur leur vie », a ajouté le patron du FNFI.

En termes de défis pour l’année 2018, dernière année de la première phase de 5 ans de mise en route du FNFI, le Fonds compte améliorer davantage la qualité des services, et poursuivre l’inclusion financière pour que d’autres localités du pays qui n’ont encore été touchées puissent l’être.

«  Au cours de cette année 2018, nous allons intervenir sur certaines grandes actions notamment la digitalisation des services financiers pour dématérialiser l’offre de service et permettre aux institutions de micro finances partenaires d’offrir ces services financiers de base en toute sécurité et à des populations qui habitent des localités plus reculées. Nous allons également maintenir le cap dans les zones où le FNFI a un très bon taux de remboursement et comme effet de récompense, il y a d’autres produits qui vont être mis en place au profit de ces zones où il y a eu de très bonnes performances en termes de remboursement comme phase pilote et aussi continuer de travailler avec les institutions de micro finances avec l’appui des autorités locales afin de mieux communiquer auprès des populations », a-t-il indiqué.

Pour rappel, le Fonds National de la Finance Inclusive est lancé le 25 janvier 2014. Il constitue un puissant instrument financier qui est une réponse institutionnelle forte aux contraintes spécifiques d’accès  des populations, surtout des zones rurales très reculées, souvent exclues des systèmes classiques de financement, aux services financiers de base. Il dispose aujourd’hui des produits notamment l’Accès des Agriculteurs aux services financiers, Accès des Pauvres aux services financiers (APSEF), Accès des jeunes aux services financiers (AJSEF), Produit d’accompagnement spécial (PAS), Produit saisonnier (PS) et Produit de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour l’inclusion  financière des Femmes vulnérables (PAIFFV).

Max D.

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